Les “vaccins” ARN produisent des turbo cancer !
https://x.com/BanounHelene/status/1755274954038223243?t=hdt72tajMKQeCvxam-MPAg&s=19
Supprimer le sucre
Éviter de respirer combustion ou autres nocif
Acide liboĩque
Le bleu de méthylène est un composé synthétique créé en 1876 par le chimiste allemand Heinrich Caro. Initialement développé comme colorant textile, il a rapidement trouvé des applications médicales :
Le bleu de méthylène possède plusieurs propriétés qui pourraient contribuer à son potentiel anticancéreux :
1. Effet sur la chaîne respiratoire mitochondriale :
2. Effets pro-oxydants ciblés :
3. Inhibition de la glycolyse aérobie (effet Warburg) :
4. Propriétés en thérapie photodynamique :
5. Inhibition de la glutathion réductase :
Les recherches sur le bleu de méthylène ont montré un potentiel varié selon les types de cancer :
### Formulations pharmaceutiques
Le bleu de méthylène est disponible sous plusieurs formes pharmaceutiques :
- Solution injectable : Méthylthioninium chlorure à 1% (10 mg/ml) - Comprimés oraux : Formulations à libération prolongée (dosage variable) - Préparations topiques : Solutions pour applications locales (0.1-1%)
### Préparation de solutions (contexte clinique uniquement)
La préparation de solutions de bleu de méthylène doit être réalisée en environnement médical contrôlé :
1. Solution pour perfusion :
2. Préparation pour thérapie photodynamique :
Important : Ces informations sont issues de la littérature scientifique et de rapports d'études cliniques. Toute utilisation thérapeutique doit être supervisée par des professionnels de santé qualifiés dans le cadre d'essais cliniques ou de protocoles approuvés.
### Posologies étudiées en recherche clinique :
- Administration intraveineuse (IV) :
- Thérapie photodynamique :
- Administration orale (formulations à libération prolongée) :
Le bleu de méthylène fait l'objet de recherches cliniques à différents stades :
Le bleu de méthylène est approuvé pour certaines indications médicales (méthémoglobinémie, certaines procédures de marquage chirurgical), mais son utilisation en oncologie reste principalement expérimentale et encadrée par :
- Les comités d'éthique des établissements de recherche - Les agences de régulation des médicaments (FDA, EMA, etc.) - Les protocoles d'essais cliniques approuvés
La recherche sur le bleu de méthylène en oncologie se concentre sur :
Pour les patients intéressés par ce domaine de recherche :
Le bleu de méthylène présente un potentiel thérapeutique intéressant en oncologie, particulièrement en thérapie photodynamique et comme agent sensibilisant. Cependant, son utilisation reste est essentiellement en dehors du système car cela ne rapporte rien au système médical corrumpu par bigpharma qui gagne des milliards grâce aux cancers et a de nouveaux traitements souvent peu efficaces ou nocifs
Cette fiche synthétise des informations issues de la littérature scientifique jusqu'à octobre 2024. Pour des informations plus récentes ou spécifiques, il est recommandé de consulter :
- Les bases de données d'essais cliniques (ClinicalTrials.gov) - Les publications scientifiques récentes (PubMed, etc.) - Les sociétés savantes en oncologie - Les centres de recherche spécialisés en thérapies anticancéreuses innovantes
…
Detruit les cellules cancéreuses
Extraits ou en huile essentielle
3 gouttes par jour pour commencer
Puis jusqu'à 8 par jour
Food grade hydrogène peroxyde Earth harmony.com
D'abord anti-oxydant, mais a forte dose devient oxydant pour detruire les cellules cancéreuses
Vitamines et plantes contre le cancer
Vitamine c liposomale
Vitamine c en intraveineuse
# Le jeûne et le cancer : analyse complète
## Contexte historique et évolution des recherches
Le jeûne est une pratique ancestrale présente dans de nombreuses cultures et traditions depuis des millénaires :
- Antiquité : Pratiqué dans diverses traditions médicales (Hippocrate, médecine ayurvédique, médecine traditionnelle chinoise) - Début du 20ème siècle : Premiers travaux scientifiques modernes sur le jeûne thérapeutique par des médecins comme Herbert Shelton - Années 1960-1980 : Études préliminaires sur les effets métaboliques du jeûne - Années 2000 : Travaux pionniers de Valter Longo à l'Université de Californie du Sud sur le jeûne et le cancer - 2010 à aujourd'hui : Multiplication des études sur le jeûne intermittent, les régimes mimant le jeûne et leurs effets sur le métabolisme tumoral
L'intérêt pour le jeûne dans le contexte oncologique s'est considérablement développé ces dernières années, avec un nombre croissant d'études précliniques et d'essais cliniques préliminaires.
## Mécanismes biologiques potentiels
### Effets métaboliques fondamentaux
1. Transition métabolique :
2. Stress cellulaire adaptatif :
### Mécanismes spécifiques liés au cancer
1. Différence métabolique entre cellules normales et cancéreuses :
2. Modulation du microenvironnement tumoral :
3. Effets sur le système immunitaire :
4. Sensibilisation aux traitements :
## Types de jeûnes étudiés dans le contexte du cancer
### Jeûne hydrique
- Description : Abstention de tout apport calorique, seule l'eau est autorisée - Durée : De 24h à plusieurs jours (rarement plus de 5 jours dans le contexte oncologique) - Applications étudiées : Principalement en période péri-thérapeutique (autour des séances de chimiothérapie) - Considérations particulières : Nécessite une supervision médicale étroite, particulièrement risqué chez les patients dénutris
### Jeûne intermittent
- Description : Alternance de périodes de jeûne et d'alimentation normale - Variantes :
- Applications étudiées : Prévention, accompagnement des traitements, phase de rémission
### Régimes mimant le jeûne (FMD - Fasting Mimicking Diet)
- Description : Diète hypocalorique spécifique induisant des effets métaboliques similaires au jeûne - Caractéristiques : Faible en protéines, faible en glucides, riche en graisses spécifiques - Durée : Généralement 5 jours consécutifs par mois - Avantages : Meilleure adhérence, réduction des risques de dénutrition, plus facile à intégrer aux protocoles oncologiques
## Applications potentielles dans le parcours oncologique
### En prévention
- Réduction des facteurs de risque métaboliques (insulinorésistance, inflammation chronique) - Optimisation des mécanismes de réparation cellulaire - Effets épigénétiques potentiellement protecteurs
### En accompagnement des traitements conventionnels
1. Chimiothérapie :
2. Radiothérapie :
3. Immunothérapie :
### En phase de rémission ou de surveillance
- Jeûne intermittent ou régimes mimant le jeûne - Objectifs : réduction du risque de récidive, gestion des séquelles métaboliques des traitements
## Protocoles pratiques étudiés
### Jeûne péri-chimiothérapie
Protocole typique étudié : - Début : 48-72h avant l'administration de la chimiothérapie - Durée : Jusqu'à 24h après la fin de l'administration - Méthode : Jeûne hydrique ou régime hypocalorique très restrictif - Réalimentation : Progressive, privilégiant aliments anti-inflammatoires
### Jeûne intermittent en maintenance
Exemple de protocole : - Méthode 16/8 : Fenêtre alimentaire de 8h par jour (ex: 12h-20h) - Fréquence : Quotidienne ou plusieurs jours par semaine - Contenu alimentaire pendant la fenêtre : Alimentation anti-inflammatoire, densité nutritionnelle élevée
### Régime mimant le jeûne selon Longo
Protocole : - Cycle de 5 jours consécutifs par mois - Jour 1 : Environ 1100 kcal (11% protéines, 46% lipides, 43% glucides) - Jours 2-5 : Environ 800 kcal (9% protéines, 44% lipides, 47% glucides) - Entre les cycles : Alimentation équilibrée, privilégiant régime méditerranéen
## Précautions essentielles et contre-indications
### Contre-indications absolues
- Dénutrition (IMC < 18.5 ou perte de poids involontaire significative) - Cachexie cancéreuse - Troubles du comportement alimentaire (antécédents ou actuels) - Diabète de type 1 - Insuffisance hépatique ou rénale sévère - Grossesse et allaitement - Âges extrêmes (enfants, adolescents, personnes très âgées)
### Précautions particulières
- Surveillance médicale obligatoire dans le contexte oncologique - Suivi nutritionnel pour éviter la dénutrition - Adaptation des traitements médicamenteux (notamment antidiabétiques, anticoagulants) - Hydratation suffisante (minimum 1,5-2L/jour) - Supplémentation électrolytique parfois nécessaire - Arrêt immédiat en cas de malaise, fatigue excessive, palpitations
### Risques spécifiques
- Hypoglycémie : Particulièrement chez les patients diabétiques ou sous certaines thérapies ciblées - Déséquilibres électrolytiques : Sodium, potassium, magnésium - Exacerbation de la fatigue liée au cancer ou aux traitements - Sarcopénie : Perte musculaire accélérée si protocole inadapté - Interactions médicamenteuses : Modification de la pharmacocinétique de certains médicaments
## État actuel de la recherche clinique
### Études précliniques
Nombreuses études sur modèles cellulaires et animaux montrant : - Effets anti-prolifératifs - Sensibilisation à la chimiothérapie - Modulation de la progression tumorale
### Essais cliniques
- Phase I/II : Plusieurs études de faisabilité et de sécurité - Études pilotes : Résultats préliminaires encourageants sur les effets secondaires des traitements - Essais randomisés : Encore peu nombreux, résultats mixtes - Études en cours : Nombreux essais cliniques actuellement en recrutement
### Limites actuelles des données
- Taille d'échantillon généralement faible - Hétérogénéité des protocoles de jeûne utilisés - Variabilité des types de cancers et stades étudiés - Manque d'études sur la survie à long terme - Peu de données sur les interactions avec les thérapies ciblées et l'immunothérapie
## Approche pratique pour les personnes intéressées
### Dialogue avec l'équipe médicale
- Discuter ouvertement de l'intérêt pour le jeûne avec l'oncologue - Rechercher des équipes médicales ouvertes aux approches intégratives - Demander une évaluation nutritionnelle complète avant d'envisager tout protocole
### Auto-surveillance
- Journal détaillé des symptômes, du poids, de l'énergie - Mesures régulières de paramètres simples (poids, tour de taille) - Suivi de la qualité de vie et des effets secondaires des traitements
### Approche progressive
1. Débuter par des modifications alimentaires douces :
2. Progression graduelle :
3. Considérer les régimes mimant le jeûne :
## Approches complémentaires synergiques
### Nutrition anti-inflammatoire
- Alimentation basée sur le régime méditerranéen - Riche en végétaux, acides gras oméga-3, antioxydants naturels - Faible en aliments ultra-transformés, sucres raffinés, viandes rouges
### Activité physique adaptée
- Essentielle pour préserver la masse musculaire pendant les périodes de jeûne - Effets synergiques avec le jeûne sur le métabolisme - Adaptée à la condition et aux capacités individuelles
### Gestion du stress
- Techniques de relaxation, méditation, yoga - Amélioration de la qualité du sommeil - Réduction du stress oxydatif et de l'inflammation
## Considérations éthiques et pratiques
### Approche individualisée
Le jeûne n'est pas une approche “taille unique” - nécessité d'adapter selon : - Type et stade du cancer - État nutritionnel de base - Traitements en cours - Comorbidités - Préférences et capacités individuelles
### Communication avec l'équipe soignante
- Informer tous les professionnels impliqués dans les soins - Documenter précisément les pratiques de jeûne - Être ouvert aux ajustements recommandés
### Ressources fiables
- Équipes de recherche reconnues (Valter Longo, Thomas Seyfried, etc.) - Centres de cancérologie intégrative - Associations de patients avec approche scientifique rigoureuse
## Conclusion
Le jeûne représente une approche prometteuse dans le contexte oncologique, avec des mécanismes biologiques plausibles et des données précliniques encourageantes. Cependant, les preuves cliniques restent limitées et préliminaires. La pratique du jeûne dans le contexte du cancer doit être :
1. Considérée comme complémentaire et non alternative aux traitements conventionnels 2. Personnalisée et adaptée à la situation clinique individuelle 3. Supervisée par des professionnels de santé informés 4. Évaluée régulièrement quant à ses bénéfices et risques 5. Abordée avec une perspective critique et scientifique
Les recherches en cours devraient apporter dans les prochaines années des données plus solides sur l'efficacité et les modalités optimales d'application du jeûne dans différentes situations oncologiques.
Premier repas (12h): - Salade anticancer: Brocoli râpé cru (50g), chou rouge émincé (50g), 1 gousse d'ail émincée, 5 champignons shiitake tranchés, arrosés d'une vinaigrette à l'huile d'olive avec 1/4 c. à café de curcuma et une pincée de poivre noir - 100g de protéines (saumon sauvage ou lentilles) - 1/2 citron pressé sur l'ensemble pour la vitamine C - 50g de quinoa cuit
Collation (16h): - 1 kiwi (riche en vitamine C) - 30g d'amandes - Thé vert au gingembre frais
Dernier repas (19h): - Soupe anticancer: bouillon avec oignon, ail, chou kale, brocoli, champignons shiitake, assaisonnée avec curcuma et poivre noir - 80g de protéines maigres - 1 cuillère à soupe d'huile d'olive extra vierge
Jour 1: - Petit-déjeuner: Thé vert au gingembre, 25g d'amandes, 1/2 kiwi - Déjeuner: Petite salade de brocoli cru (40g), chou râpé (30g), 1/2 gousse d'ail finement émincée, huile d'olive infusée au curcuma et poivre noir - Dîner: Bouillon de légumes avec oignons, ail et champignons shiitake, 10g de protéines végétales
Jours 2-5: - Petit-déjeuner: Thé vert au gingembre - Déjeuner: Mini-salade de crucifères (50g total de brocoli et chou), quelques lamelles de champignons shiitake, vinaigrette légère au curcuma et poivre noir - Dîner: Bouillon léger aux oignons et à l'ail
Jour 1: - Matin: Bouillon d'oignons et ail (léger, filtré) - Midi: Jus de légumes incluant du brocoli et un peu de gingembre frais - Soir: Soupe légère avec purée de chou-fleur et brocoli
Jour 2: - Matin: Compote de pomme saupoudrée de cannelle et curcuma (pincée) - Midi: Purée de brocoli et chou-fleur à l'ail (très cuit), 1 c. à café d'huile d'olive - Soir: Soupe aux champignons shiitake et oignons, légèrement relevée de curcuma et poivre noir
Ces aliments peuvent être particulièrement bénéfiques car : - Les crucifères (brocoli, choux) contiennent des composés soufrés et des glucosinolates aux propriétés anticancéreuses potentielles - L'ail et l'oignon sont riches en composés organosulfurés - Le curcuma contient de la curcumine (dont l'absorption est améliorée par le poivre noir) - Les champignons shiitake contiennent des bêta-glucanes immunomodulateurs - Les kiwis et agrumes apportent de la vitamine C antioxydante
La clé est de respecter les quantités et proportions caloriques adaptées à chaque type de jeûne tout en maximisant la densité nutritionnelle avec ces aliments.
Éviter le sucre
De bons gras, régime keto ?
Dr Richard Beliveau explique les bienfaits de certains aliments contre des cancers :
Ail, choux de Bruxelles, blettes, curcuma etc
https://odysee.com/@LeGrandReveil.org:a/aliments-anti-cancer:b
EBC46 une baie d'Australie
Cancer du sein et octobre rose arnaque dénoncée par cancérologue Dr Delepine :
Le sélénium pourrait réduire fortement le cancer du sein seleon docteur péter glidden
Conseils d'un naturopathe pour les femmes avec un cancer du sein : https://naturopathe-biarritz.com/traitements-naturels-contre-le-cancer-les-solutions-complementaires-et-de-soutien/
https://twitter.com/LaureGonlezamar/status/1805304156573376902?s=19
Effet ivermectine sur cancer du sein
Le fenbendazole est principalement utilisé en médecine vétérinaire, tandis que le mebendazole est approuvé pour l'usage humain. Le mebendazole est efficace contre divers parasites intestinaux, notamment les oxyures, les ankylostomes et les vers ronds. [Fenben](https://fenben.pro/fr/Comparaison-des-anthelminthiques-entre-le-fenbendazole-et-le-m%C3%A9bendazole/) [FirstMed Inc.](https://firstmedinc.com/the-ultimate-guide-what-is-the-difference-between-mebendazole-febendazole-and-albendazole/)
Le fenbendazole est généralement considéré comme plus puissant et a une durée d'action plus longue comparé au mebendazole. Le fenbendazole a montré une affinité plus élevée pour la tubuline des nématodes par rapport à la tubuline des mammifères, offrant potentiellement un profil de sécurité légèrement meilleur dans certaines applications. [Fenben](https://fenben.pro/fenbendazole-vs-mebendazole-key-distinctions/)
Le fenbendazole a plusieurs fonctions anti cancer, il inhibe l'absorption du glucose , Ce qui entraîne une réduction des taux de lactate. https://x.com/BanounHelene/status/1862945314618909034?t=HHoVEFZmkWsC27dxlmzCew&s=19
FENBENDAZOLE ANTI CANCER TREATMENT WORKS! CANCER ARE PARASITES.
• Fenbendazole (222mg) • Vitamin E (800IU daily) • Curcumin (600mg daily) • CBD oil (25mg per day) • Berberine & Quercetine
Les anti parasites comme Fenbendazole ou ivermectine.
Le fendenbazole inhibe l'absorption du glucose ce qui entraîne une réduction des taux de lactate.
JOE TIPPENS PROTOCOL - FENBENDAZOLE - PARASITES AND CANCER TREATMENT
https://genericmate.com/product/fenbendazole-tablets-wormentel-500mg/
Le Fenbendazole est l'ingrédient actif dans le Panacur, antiparasite comme l'ivermectine.
Posologie pour chien :voie orale. Votre pharmacien vous conseille de donner 1 comprimé par jour de panacur 500 pour 10 kg ( soit 5 par jour pour une personne de 50 kg ou 10 par jour pour une personne de 100kg) pendant 3 jours consécutifs.
Les comprimés hydrodispersibles doivent être préalablement dissous dans un peu d'eau et mélangés au repas.
Patch de nicotine
Nicotine en intraveineuse ?
https://vm.tiktok.com/ZGJKmMEdh/
Des fréquences contre cancer , autism et arthrose ?
Histotripsie , détruire les cellules cancéreuses ( du foie en particulier ) par ultra sons.
« Mon histoire de cancer ! (Infirmière Cindy)
- En août 2023, on m'a diagnostiqué un cancer du pancréas de stade 4 et, sans traitement, j'avais 3 à 6 mois pour régler mes affaires.
J'ai immédiatement commencé mon protocole de fenbendazole. J'ai failli arrêter car ma qualité de vie s'était considérablement détériorée. Mais j'ai commencé à me sentir mieux. Moins de nausées. J'avais repris du poids ! J'avais plus d'énergie. Mon scanner de novembre 2023 a indiqué que ce cancer grave n'avait ni grandi ni propagé. Mon marqueur de cancer est passé de plus de 100 000 à 35 000. En janvier 2024, mon nouveau numéro de marqueur était de 18 000 !!! Mon oncologue se grattait la tête et un membre de la famille a dit qu'il semblait déconcerté ! Et non, je ne l'ai pas informé du fenbendazole. J'avais peur qu'il me laisse tomber comme patient. J'étais très reconnaissante envers le Fenben et la façon dont il m'a aidée. Je me sentais mieux et plus forte. J'ai passé des scanners et des analyses sanguines en mars, et mes marqueurs sont maintenant descendus à 6000. Et les tumeurs rétrécissaient !!! Deux semaines après mon scanner précédent, j'ai refait un scanner et le résultat est NED. C'ÉTAIT MON PROTOCOLE; •MATIN ◦ Curcumine (600 mg par jour) ◦ Zinc (50 mg) ◦ Chardon Marie, En complément alimentaire, prendre 15 à 30 gouttes, 2 à 3 fois par jour dans un peu de jus de fruits ou d'eau. 7 jours sur 7 ◦ Serrapeptase (120,00Iu) ◦ Fenbendazole (il est conseillé de prendre 1000 mg de Panacur C sept jours par semaine. Il est recommandé de le prendre avec un repas). 1000 mg de Pancur contiennent 222 mg de Fenben. • NUIT ◦ Curcumine (des comprimés de 600 mg par jour sont recommandés) ◦ Berbérine (600 mg 2 à 3 fois par jour) ◦ Quercétine (500 mg 1/jour) ◦ Queue de dinde ◦ Vitamine E (800 mg 7 jours par semaine) ◦ Fenbendazole (1000 mg le soir) 1000 mg Pancur contient 222 mg de Fenben. ◦ Ivermectine 12 mg par jour 5/7 jours par semaine • Limitez votre consommation de sucre et d’aliments transformés •Je buvais souvent du thé vert. Infirmière Cindy FB :
🤔 La thérapie cellulaire dendritique - Sophia Salmeron - avocate
https://x.com/LetItShine69/status/1867268266638684513?t=zg06GUKIHUoIa1ucCmYfzg&s=19
Peptide antineoplaston du Docteur Burzynski