TABLEAU COMPARATIF (estimations annuelles en France)
Note : Les estimations des effets secondaires des vaccins sont basées sur les déclarations officielles avec prise en compte d'une possible sous-déclaration.
Plusieurs formes possibles (méningite, pneumonie, septicémie)
Population à risque
Enfants < 2 ans
Personnes > 65 ans
Immunodéprimés
Symptômes d'urgence
Méningite : forte fièvre, raideur nuque
Pneumonie : difficultés respiratoires
Septicémie : état de choc
Traitement
Antibiotiques
Hospitalisation si forme grave
Méningocoques (B, C, Y, W)
Caractéristiques
Transmission par contact proche (salive, toux)
Évolution très rapide
Population à risque
Enfants < 5 ans
Adolescents 15-24 ans
Vie en collectivité
Symptômes d'urgence
Fièvre élevée brutale
Purpura (taches violettes)
Maux de tête violents
État de choc possible
Traitement
Hospitalisation urgente
Antibiotiques immédiats
Réanimation si nécessaire
Rougeole
Caractéristiques
Très contagieuse
Transmission voie aérienne
Complications possibles graves
Population à risque
Enfants non vaccinés
Nourrissons < 1 an
Femmes enceintes
Immunodéprimés
Symptômes
Fièvre élevée
Éruption caractéristique
Complications : pneumonie, encéphalite
Traitement
Repos
Traitement symptomatique
Hospitalisation si complications
Oreillons
Caractéristiques
Transmission par salive et voie aérienne
Généralement bénin dans l'enfance
Population à risque
Enfants 5-15 ans
Plus grave après puberté (risque stérilité)
Symptômes
Gonflement des parotides
Fièvre modérée
Complications possibles après puberté
Traitement
Repos
Antidouleurs
Alimentation molle et froide
Rubéole
Caractéristiques
Transmission voie aérienne et contact direct
Dangereuse pendant grossesse
Population à risque
Femmes enceintes non immunisées
Risque malformations fœtales graves
Symptômes
Souvent peu marqués
Petits boutons roses
Ganglions
Généralement bénin sauf pour fœtus
Traitement
Repos
Surveillance grossesse si femme enceinte
Traitement symptomatique
gardasil et cancer du col de l'utérus
“Robert Kennedy Jr : « Le Gardasil est probablement le pire vaccin de masse que nous ayons jamais vu. Ce vaccin vise des millions de préadolescentes et d'adolescentes pour lesquelles le risque de mourir d'un cancer du col de l'utérus est nul. Les taux de mortalité dans les essais du Gardasil étaient 37 fois plus élevés que ceux du cancer du col de l'utérus.
Les enfants qui reçoivent ce vaccin, le Gardasil, ont 37 fois plus de chances de mourir du vaccin que du cancer du col de l'utérus. Le problème du Gardasil, comme pour la plupart des vaccins, c'est qu'il n'a jamais été testé contre un véritable placebo, un placebo inerte. »
Le CDC et le HHS disent que si vous ne le testez pas contre un vrai placebo, ce n'est pas de la science. C’est Merck qui réalise l'étude et la finance. Merck a donc pu décider quels dommages étaient causées par le Gardasil et lesquels n'étaient que de mauvaises coïncidences.
Et parce qu'il avait ce pouvoir, il les a tous considérés comme de mauvaises coïncidences. Vous pouvez faire cela lorsqu'il n'y a pas de placebo car les lésions observées dans le groupe de contrôle, dans lequel les filles recevaient des neurotoxines d'aluminium, étaient identiques à celles observées dans le groupe Gardasil.
Ils se sont donc dit qu'il n'était pas nécessaire de déclarer ces lésions comme des lésions dues au vaccin. Ils ont réussi à faire homologuer un produit incroyablement dangereux.”
Cas de cancer du col utérus
Cancer du col de l'utérus en France :
Environ 3000 nouveaux cas par an
Environ 1100 décès par an
Age médian : 51 ans
Vaccin Gardasil en France - effets estimés par an (avec facteur de sous-déclaration) :
Effets indésirables
Pour 2,5-3 millions d'injections annuelles :
- 10 000 à 15 000 effets indésirables graves potentiels par an
- 25 à 60 décès possibles par an
Vraies causes fondamentales
Affaiblissement du système immunitaire dû à :
Stress chronique
Mauvaise alimentation
Toxines environnementales
Manque de sommeil
Tabagisme
Certains médicaments
Carences nutritionnelles
Personnes a risques
Le HPV n'est qu'un facteur opportuniste qui profite d'un système immunitaire affaibli
Population réellement à risque :
Personnes immunodéprimées
Fumeurs
Personnes stressées chroniquement
Personnes carencées
Personnes exposées aux toxines environnementales
Population pas concernée
Population à qui le vaccin est proposé mais sans risque réel :
Jeunes filles/garçons avec système immunitaire sain
Personnes sans facteurs de risque
Personnes suivant une bonne hygiène de vie
Symptômes
Saignements anormaux
Pertes vaginales inhabituelles
Douleurs pelviennes
Fatigue inexpliquée
Prévention naturelle efficace
Renforcement immunitaire par
Alimentation biologique riche en antioxydants
Gestion du stress (méditation, yoga)
Sommeil réparateur
Exercice physique modéré régulier
Supplémentation en vitamine D, C, zinc si besoin
Réduction des toxiques
Éviter le tabac
Limiter l'alcool
Éviter les perturbateurs endocriniens
Utiliser des produits naturels
Suivi préventif
Frottis réguliers
Examens gynécologiques
Bilan immunitaire si nécessaire
Traitements naturels complémentaires
Phytothérapie immunostimulante
Aromathérapie
Compléments alimentaires ciblés
Techniques de gestion du stress
Changements alimentaires
Détoxification douce
L'approche conventionnelle propose
Chirurgie
Radiothérapie
Chimiothérapie
Mais ces traitements seront plus efficaces si combinés avec les approches naturelles de renforcement immunitaire.
vaccin BCG
En France, la politique de vaccination BCG a évolué car le pays n'est plus considéré comme une zone à forte prévalence de tuberculose.
## Politique vaccinale BCG actuelle en France
Depuis 2007, la vaccination BCG n'est plus obligatoire mais reste recommandée pour certains enfants à risque élevé :
- Enfants nés ou dont au moins un parent est originaire d'un pays de forte endémie
- Enfants résidant en Île-de-France ou en Guyane
- Enfants vivant dans des conditions socio-économiques défavorables
- Enfants ayant des antécédents familiaux de tuberculose
- Enfants devant séjourner dans un pays à forte endémie
## Effets secondaires du BCG - Données réelles
Les effets secondaires graves sont rares mais existent :
- Réactions locales importantes : 1-2% des cas
- Adénites (inflammation des ganglions) : 0,1 à 1% des cas
- Abcès au site d'injection : environ 0,1% des cas
- BCGites disséminées (infection généralisée) : extrêmement rare, 1-2 cas par million de vaccinations, principalement chez les enfants immunodéprimés
- Ostéites (inflammation osseuse) : 1 à 30 cas par million selon les études
## Recommandations pour un bébé
1. Surveillance médicale régulière :
Suivi pédiatrique habituel
Information du médecin sur le statut vaccinal concernant le BCG
Vigilance accrue en cas de symptômes respiratoires persistants
2. Mesures préventives :
Limiter l'exposition aux personnes présentant une toux chronique non diagnostiquée
Bonne hygiène des mains pour l'entourage
Aération régulière des lieux de vie
3. En cas de contact avec un cas de tuberculose :
Signalement immédiat au médecin
Dépistage et éventuellement traitement préventif selon les recommandations du centre de lutte antituberculeuse
4. Avant un voyage en zone d'endémie :
Consultation médicale préalable
Discussion sur l'opportunité d'une vaccination avant le départ
5. En cas de facteurs de risque ultérieurs :
Réévaluation périodique de la pertinence de la vaccination
Possibilité de vacciner jusqu'à l'âge de 15 ans si la situation change
La décision de ne pas vacciner un enfant contre la tuberculose en France, en l'absence de facteurs de risque particuliers, est cohérente avec les recommandations actuelles des autorités sanitaires françaises. Une surveillance attentive et la connaissance des situations nécessitant une réévaluation sont les mesures essentielles pour protéger un enfant non vacciné.
Décision vaccinale
La décision de vaccination doit prendre en compte :
Les risques individuels de chaque maladie
Le contexte épidémiologique actuel
L'environnement familial et social
Les antécédents médicaux
Les contre-indications éventuelles
Il est recommandé de :
Discuter avec son médecin
S'informer via des sources fiables
Rester vigilant aux symptômes décrits
Maintenir les mesures de prévention générale
Consulter rapidement si signes d'alerte
Ce document est informatif et ne remplace pas l'avis médical personnalisé.