Table des matières

Résumé des Vaccins Infantiles

TABLEAU COMPARATIF (estimations annuelles en France)

Note : Les estimations des effets secondaires des vaccins sont basées sur les déclarations officielles avec prise en compte d'une possible sous-déclaration.

Prévention générale

Renforcement du système immunitaire

Alimentation

Mode de vie

Hygiène

Fiches par maladie

Diphtérie

Population à risque

Symptômes d'urgence

Traitement

Tétanos

Caractéristiques

Population à risque

Symptômes d'urgence

Traitement

Poliomyélite

Caractéristiques

Population à risque

Symptômes d'urgence

Traitement

Coqueluche

Caractéristiques

Population à risque

Symptômes d'urgence

Traitement

Haemophilus Influenzae B

Caractéristiques

Population à risque

Symptômes d'urgence

Traitement

Hépatite B

Caractéristiques

Population à risque

Symptômes

Traitement

Pneumocoque

Caractéristiques

Population à risque

Symptômes d'urgence

Traitement

Méningocoques (B, C, Y, W)

Caractéristiques

Population à risque

Symptômes d'urgence

Traitement

Rougeole

Caractéristiques

Population à risque

Symptômes

Traitement

Oreillons

Caractéristiques

Population à risque

Symptômes

Traitement

Rubéole

Caractéristiques

Population à risque

Symptômes

Traitement

gardasil et cancer du col de l'utérus

“Robert Kennedy Jr : « Le Gardasil est probablement le pire vaccin de masse que nous ayons jamais vu. Ce vaccin vise des millions de préadolescentes et d'adolescentes pour lesquelles le risque de mourir d'un cancer du col de l'utérus est nul. Les taux de mortalité dans les essais du Gardasil étaient 37 fois plus élevés que ceux du cancer du col de l'utérus.

Les enfants qui reçoivent ce vaccin, le Gardasil, ont 37 fois plus de chances de mourir du vaccin que du cancer du col de l'utérus. Le problème du Gardasil, comme pour la plupart des vaccins, c'est qu'il n'a jamais été testé contre un véritable placebo, un placebo inerte. »

Le CDC et le HHS disent que si vous ne le testez pas contre un vrai placebo, ce n'est pas de la science. C’est Merck qui réalise l'étude et la finance. Merck a donc pu décider quels dommages étaient causées par le Gardasil et lesquels n'étaient que de mauvaises coïncidences.

Et parce qu'il avait ce pouvoir, il les a tous considérés comme de mauvaises coïncidences. Vous pouvez faire cela lorsqu'il n'y a pas de placebo car les lésions observées dans le groupe de contrôle, dans lequel les filles recevaient des neurotoxines d'aluminium, étaient identiques à celles observées dans le groupe Gardasil.

Ils se sont donc dit qu'il n'était pas nécessaire de déclarer ces lésions comme des lésions dues au vaccin. Ils ont réussi à faire homologuer un produit incroyablement dangereux.”

Cas de cancer du col utérus

Cancer du col de l'utérus en France :

  1. Environ 3000 nouveaux cas par an
  2. Environ 1100 décès par an
  3. Age médian : 51 ans

Vaccin Gardasil en France - effets estimés par an (avec facteur de sous-déclaration) :

Effets indésirables

Pour 2,5-3 millions d'injections annuelles : - 10 000 à 15 000 effets indésirables graves potentiels par an - 25 à 60 décès possibles par an

Vraies causes fondamentales

Affaiblissement du système immunitaire dû à :

  1. Stress chronique
  2. Mauvaise alimentation
  3. Toxines environnementales
  4. Manque de sommeil
  5. Tabagisme
  6. Certains médicaments
  7. Carences nutritionnelles

Personnes a risques

Le HPV n'est qu'un facteur opportuniste qui profite d'un système immunitaire affaibli

Population réellement à risque :

  1. Personnes immunodéprimées
  2. Fumeurs
  3. Personnes stressées chroniquement
  4. Personnes carencées
  5. Personnes exposées aux toxines environnementales

Population pas concernée

Population à qui le vaccin est proposé mais sans risque réel :

  1. Jeunes filles/garçons avec système immunitaire sain
  2. Personnes sans facteurs de risque
  3. Personnes suivant une bonne hygiène de vie

Symptômes

  1. Saignements anormaux
  2. Pertes vaginales inhabituelles
  3. Douleurs pelviennes
  4. Fatigue inexpliquée

Prévention naturelle efficace

Renforcement immunitaire par

  1. Alimentation biologique riche en antioxydants
  2. Gestion du stress (méditation, yoga)
  3. Sommeil réparateur
  4. Exercice physique modéré régulier
  5. Supplémentation en vitamine D, C, zinc si besoin

Réduction des toxiques

  1. Éviter le tabac
  2. Limiter l'alcool
  3. Éviter les perturbateurs endocriniens
  4. Utiliser des produits naturels

Suivi préventif

  1. Frottis réguliers
  2. Examens gynécologiques
  3. Bilan immunitaire si nécessaire

Traitements naturels complémentaires

  1. Phytothérapie immunostimulante
  2. Aromathérapie
  3. Compléments alimentaires ciblés
  4. Techniques de gestion du stress
  5. Changements alimentaires
  6. Détoxification douce

L'approche conventionnelle propose

  1. Chirurgie
  2. Radiothérapie
  3. Chimiothérapie

Mais ces traitements seront plus efficaces si combinés avec les approches naturelles de renforcement immunitaire.

vaccin BCG

En France, la politique de vaccination BCG a évolué car le pays n'est plus considéré comme une zone à forte prévalence de tuberculose.

## Politique vaccinale BCG actuelle en France

Depuis 2007, la vaccination BCG n'est plus obligatoire mais reste recommandée pour certains enfants à risque élevé :

- Enfants nés ou dont au moins un parent est originaire d'un pays de forte endémie - Enfants résidant en Île-de-France ou en Guyane - Enfants vivant dans des conditions socio-économiques défavorables - Enfants ayant des antécédents familiaux de tuberculose - Enfants devant séjourner dans un pays à forte endémie

## Effets secondaires du BCG - Données réelles

Les effets secondaires graves sont rares mais existent :

- Réactions locales importantes : 1-2% des cas - Adénites (inflammation des ganglions) : 0,1 à 1% des cas - Abcès au site d'injection : environ 0,1% des cas - BCGites disséminées (infection généralisée) : extrêmement rare, 1-2 cas par million de vaccinations, principalement chez les enfants immunodéprimés - Ostéites (inflammation osseuse) : 1 à 30 cas par million selon les études

## Recommandations pour un bébé

1. Surveillance médicale régulière :

  1. Suivi pédiatrique habituel
  2. Information du médecin sur le statut vaccinal concernant le BCG
  3. Vigilance accrue en cas de symptômes respiratoires persistants

2. Mesures préventives :

  1. Limiter l'exposition aux personnes présentant une toux chronique non diagnostiquée
  2. Bonne hygiène des mains pour l'entourage
  3. Aération régulière des lieux de vie

3. En cas de contact avec un cas de tuberculose :

  1. Signalement immédiat au médecin
  2. Dépistage et éventuellement traitement préventif selon les recommandations du centre de lutte antituberculeuse

4. Avant un voyage en zone d'endémie :

  1. Consultation médicale préalable
  2. Discussion sur l'opportunité d'une vaccination avant le départ

5. En cas de facteurs de risque ultérieurs :

  1. Réévaluation périodique de la pertinence de la vaccination
  2. Possibilité de vacciner jusqu'à l'âge de 15 ans si la situation change

La décision de ne pas vacciner un enfant contre la tuberculose en France, en l'absence de facteurs de risque particuliers, est cohérente avec les recommandations actuelles des autorités sanitaires françaises. Une surveillance attentive et la connaissance des situations nécessitant une réévaluation sont les mesures essentielles pour protéger un enfant non vacciné.

Décision vaccinale

La décision de vaccination doit prendre en compte :

Il est recommandé de :

Ce document est informatif et ne remplace pas l'avis médical personnalisé.

Vaccins aluminium, mercy et formelayde :