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L'illégalité des impôts et taxes en France

Cette page expose une analyse critique de la légalité des impôts et taxes en France, à la lumière de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 (DDHC) et du fonctionnement institutionnel actuel.

1. La Déclaration de 1789 : un texte au sommet de la hiérarchie

La DDHC de 1789 a valeur constitutionnelle en France. Elle est donc supérieure à toutes les lois, y compris les lois de finances. Cela signifie qu’aucune loi ordinaire ne peut aller contre ses principes.

Les articles essentiels à rappeler sont :

2. Le problème du consentement

Selon l’article 14, l’impôt ne peut être prélevé que si :

Or, dans la pratique actuelle :

=⇒ Cela crée une contradiction : les impôts sont prélevés sans consentement réel, donc en violation de l’article 14 DDHC.

3. Le rôle du 49.3

Le gouvernement peut utiliser l’article 49.3 de la Constitution pour faire adopter une loi de finances sans vote de l’Assemblée nationale. Cela signifie :

=⇒ Cela renforce l’illégalité des impôts prélevés sous cette procédure.

4. Les dirigeants non représentatifs

Un autre problème se pose :

=⇒ Ainsi, les décisions fiscales sont parfois prises par des personnes sans légitimité démocratique directe.

5. Analyse critique du point de vue citoyen

Du point de vue d’un citoyen :

=⇒ On peut conclure que la fiscalité actuelle est en contradiction avec la Déclaration de 1789. En ce sens, les impôts et taxes tels qu’ils sont appliqués aujourd’hui peuvent être considérés comme illégaux au regard des principes constitutionnels.

6. Conclusion

En théorie, l’impôt est un devoir citoyen légitime, destiné à financer les services publics. En pratique, son mode de mise en œuvre en France viole les principes fondateurs de la Déclaration de 1789 :

Voir comment le conseil constitutionnel ne fait pas sin travail, et au contraire autorise illégalement des violations de notre constitution.

=⇒ Les impôts et taxes actuels, tels qu’appliqués, apparaissent donc comme illégitimes, et potentiellement illégaux au regard du droit constitutionnel supérieur.