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Table des matières
Résumé des Vaccins Infantiles
TABLEAU COMPARATIF (estimations annuelles en France)
Note : Les estimations des effets secondaires des vaccins sont basées sur les déclarations officielles avec prise en compte d'une possible sous-déclaration.
Prévention générale
Renforcement du système immunitaire
Alimentation
- Riche en vitamines C et D
- Fruits et légumes frais quotidiens
- Protéines de qualité
- Zinc (fruits de mer, viande)
- Sélénium (noix, poisson)
- Oméga-3 (poissons gras)
- Probiotiques naturels (yaourt, kéfir)
Mode de vie
- Sommeil suffisant et régulier
- Activité physique adaptée à l'âge
- Gestion du stress
- Exposition modérée au soleil (vitamine D)
- Éviter la surpopulation en crèche si possible
- Allaitement maternel quand possible (nourrissons)
Hygiène
- Lavage des mains fréquent
- Aération quotidienne des pièces
- Éviter le tabagisme passif
- Nettoyage régulier des jouets
- Éviter le partage d'objets personnels
- Port du masque si malade
Fiches par maladie
Diphtérie
Population à risque
- Enfants non vaccinés
- Transmission par voie aérienne et contact direct
Symptômes d'urgence
- Membrane grisâtre dans la gorge
- Difficultés respiratoires
- Gonflement du cou
Traitement
- Sérum antidiphtérique
- Antibiotiques
- Hospitalisation nécessaire
Tétanos
Caractéristiques
- Pas de transmission interhumaine
- Contamination par terre/rouille
Population à risque
- Non-vaccinés
- Personnes âgées
- Jardiniers
Symptômes d'urgence
- Contractures mâchoire puis généralisées
- Spasmes respiratoires
- Impossibilité d'ouvrir la bouche
Traitement
- Réanimation
- Immunoglobulines
- Antibiotiques
Poliomyélite
Caractéristiques
- Transmission voie digestive et aérienne
- Maladie éradiquée en France
Population à risque
- Enfants non vaccinés
- Risque d'importation de pays endémiques
Symptômes d'urgence
- Paralysie qui s'installe rapidement
- Difficultés respiratoires
- Douleurs musculaires intenses
Traitement
- Pas de traitement spécifique
- Rééducation si paralysie
Coqueluche
Caractéristiques
- Transmission voie aérienne
- Très contagieuse
Population à risque
- Nourrissons < 6 mois
- Contamination souvent par parents/fratrie
Symptômes d'urgence
- Quintes de toux violentes
- Difficultés à respirer
- Cyanose durant les quintes
Traitement
- Antibiotiques
- Hospitalisation si nourrisson
Haemophilus Influenzae B
Caractéristiques
- Transmission voie aérienne
- Risque de méningite et épiglottite
Population à risque
- Enfants < 5 ans
- Surtout 6-18 mois
Symptômes d'urgence
- Méningite : fièvre, raideur nuque, somnolence
- Épiglottite : difficultés respiratoires brutales
- Position assise caractéristique, bave
Traitement
- Hospitalisation urgente
- Antibiotiques intraveineux
- Possible intubation si épiglottite
Hépatite B
Caractéristiques
- Transmission : sang, relations sexuelles, mère-enfant
- Risque de chronicité
Population à risque
- Usage de drogues
- Partenaires sexuels multiples
- Professionnels de santé
- Nouveau-nés de mère porteuse
Symptômes
- Fatigue intense
- Jaunisse
- Urines foncées, selles décolorées
- Risque de cancer du foie à long terme
Traitement
- Repos
- Surveillance
- Antiviraux si forme chronique
Pneumocoque
Caractéristiques
- Transmission voie aérienne
- Plusieurs formes possibles (méningite, pneumonie, septicémie)
Population à risque
- Enfants < 2 ans
- Personnes > 65 ans
- Immunodéprimés
Symptômes d'urgence
- Méningite : forte fièvre, raideur nuque
- Pneumonie : difficultés respiratoires
- Septicémie : état de choc
Traitement
- Antibiotiques
- Hospitalisation si forme grave
Méningocoques (B, C, Y, W)
Caractéristiques
- Transmission par contact proche (salive, toux)
- Évolution très rapide
Population à risque
- Enfants < 5 ans
- Adolescents 15-24 ans
- Vie en collectivité
Symptômes d'urgence
- Fièvre élevée brutale
- Purpura (taches violettes)
- Maux de tête violents
- État de choc possible
Traitement
- Hospitalisation urgente
- Antibiotiques immédiats
- Réanimation si nécessaire
Rougeole
Caractéristiques
- Très contagieuse
- Transmission voie aérienne
- Complications possibles graves
Population à risque
- Enfants non vaccinés
- Nourrissons < 1 an
- Femmes enceintes
- Immunodéprimés
Symptômes
- Fièvre élevée
- Éruption caractéristique
- Complications : pneumonie, encéphalite
Traitement
- Repos
- Traitement symptomatique
- Hospitalisation si complications
Oreillons
Caractéristiques
- Transmission par salive et voie aérienne
- Généralement bénin dans l'enfance
Population à risque
- Enfants 5-15 ans
- Plus grave après puberté (risque stérilité)
Symptômes
- Gonflement des parotides
- Fièvre modérée
- Complications possibles après puberté
Traitement
- Repos
- Antidouleurs
- Alimentation molle et froide
Rubéole
Caractéristiques
- Transmission voie aérienne et contact direct
- Dangereuse pendant grossesse
Population à risque
- Femmes enceintes non immunisées
- Risque malformations fœtales graves
Symptômes
- Souvent peu marqués
- Petits boutons roses
- Ganglions
- Généralement bénin sauf pour fœtus
Traitement
- Repos
- Surveillance grossesse si femme enceinte
- Traitement symptomatique
gardasil et cancer du col de l'utérus
“Robert Kennedy Jr : « Le Gardasil est probablement le pire vaccin de masse que nous ayons jamais vu. Ce vaccin vise des millions de préadolescentes et d'adolescentes pour lesquelles le risque de mourir d'un cancer du col de l'utérus est nul. Les taux de mortalité dans les essais du Gardasil étaient 37 fois plus élevés que ceux du cancer du col de l'utérus.
Les enfants qui reçoivent ce vaccin, le Gardasil, ont 37 fois plus de chances de mourir du vaccin que du cancer du col de l'utérus. Le problème du Gardasil, comme pour la plupart des vaccins, c'est qu'il n'a jamais été testé contre un véritable placebo, un placebo inerte. »
Le CDC et le HHS disent que si vous ne le testez pas contre un vrai placebo, ce n'est pas de la science. C’est Merck qui réalise l'étude et la finance. Merck a donc pu décider quels dommages étaient causées par le Gardasil et lesquels n'étaient que de mauvaises coïncidences.
Et parce qu'il avait ce pouvoir, il les a tous considérés comme de mauvaises coïncidences. Vous pouvez faire cela lorsqu'il n'y a pas de placebo car les lésions observées dans le groupe de contrôle, dans lequel les filles recevaient des neurotoxines d'aluminium, étaient identiques à celles observées dans le groupe Gardasil.
Ils se sont donc dit qu'il n'était pas nécessaire de déclarer ces lésions comme des lésions dues au vaccin. Ils ont réussi à faire homologuer un produit incroyablement dangereux.”
Cas de cancer du col utérus
Cancer du col de l'utérus en France :
- Environ 3000 nouveaux cas par an
- Environ 1100 décès par an
- Age médian : 51 ans
Vaccin Gardasil en France - effets estimés par an (avec facteur de sous-déclaration) :
Effets indésirables
Pour 2,5-3 millions d'injections annuelles : - 10 000 à 15 000 effets indésirables graves potentiels par an - 25 à 60 décès possibles par an
Vraies causes fondamentales
Affaiblissement du système immunitaire dû à :
- Stress chronique
- Mauvaise alimentation
- Toxines environnementales
- Manque de sommeil
- Tabagisme
- Certains médicaments
- Carences nutritionnelles
Personnes a risques
Le HPV n'est qu'un facteur opportuniste qui profite d'un système immunitaire affaibli
Population réellement à risque :
- Personnes immunodéprimées
- Fumeurs
- Personnes stressées chroniquement
- Personnes carencées
- Personnes exposées aux toxines environnementales
Population pas concernée
Population à qui le vaccin est proposé mais sans risque réel :
- Jeunes filles/garçons avec système immunitaire sain
- Personnes sans facteurs de risque
- Personnes suivant une bonne hygiène de vie
Symptômes
- Saignements anormaux
- Pertes vaginales inhabituelles
- Douleurs pelviennes
- Fatigue inexpliquée
Prévention naturelle efficace
Renforcement immunitaire par
- Alimentation biologique riche en antioxydants
- Gestion du stress (méditation, yoga)
- Sommeil réparateur
- Exercice physique modéré régulier
- Supplémentation en vitamine D, C, zinc si besoin
Réduction des toxiques
- Éviter le tabac
- Limiter l'alcool
- Éviter les perturbateurs endocriniens
- Utiliser des produits naturels
Suivi préventif
- Frottis réguliers
- Examens gynécologiques
- Bilan immunitaire si nécessaire
Traitements naturels complémentaires
- Phytothérapie immunostimulante
- Aromathérapie
- Compléments alimentaires ciblés
- Techniques de gestion du stress
- Changements alimentaires
- Détoxification douce
L'approche conventionnelle propose
- Chirurgie
- Radiothérapie
- Chimiothérapie
Mais ces traitements seront plus efficaces si combinés avec les approches naturelles de renforcement immunitaire.
vaccin BCG
En France, la politique de vaccination BCG a évolué car le pays n'est plus considéré comme une zone à forte prévalence de tuberculose.
## Politique vaccinale BCG actuelle en France
Depuis 2007, la vaccination BCG n'est plus obligatoire mais reste recommandée pour certains enfants à risque élevé :
- Enfants nés ou dont au moins un parent est originaire d'un pays de forte endémie - Enfants résidant en Île-de-France ou en Guyane - Enfants vivant dans des conditions socio-économiques défavorables - Enfants ayant des antécédents familiaux de tuberculose - Enfants devant séjourner dans un pays à forte endémie
## Effets secondaires du BCG - Données réelles
Les effets secondaires graves sont rares mais existent :
- Réactions locales importantes : 1-2% des cas - Adénites (inflammation des ganglions) : 0,1 à 1% des cas - Abcès au site d'injection : environ 0,1% des cas - BCGites disséminées (infection généralisée) : extrêmement rare, 1-2 cas par million de vaccinations, principalement chez les enfants immunodéprimés - Ostéites (inflammation osseuse) : 1 à 30 cas par million selon les études
## Recommandations pour un bébé
1. Surveillance médicale régulière :
- Suivi pédiatrique habituel
- Information du médecin sur le statut vaccinal concernant le BCG
- Vigilance accrue en cas de symptômes respiratoires persistants
2. Mesures préventives :
- Limiter l'exposition aux personnes présentant une toux chronique non diagnostiquée
- Bonne hygiène des mains pour l'entourage
- Aération régulière des lieux de vie
3. En cas de contact avec un cas de tuberculose :
- Signalement immédiat au médecin
- Dépistage et éventuellement traitement préventif selon les recommandations du centre de lutte antituberculeuse
4. Avant un voyage en zone d'endémie :
- Consultation médicale préalable
- Discussion sur l'opportunité d'une vaccination avant le départ
5. En cas de facteurs de risque ultérieurs :
- Réévaluation périodique de la pertinence de la vaccination
- Possibilité de vacciner jusqu'à l'âge de 15 ans si la situation change
La décision de ne pas vacciner un enfant contre la tuberculose en France, en l'absence de facteurs de risque particuliers, est cohérente avec les recommandations actuelles des autorités sanitaires françaises. Une surveillance attentive et la connaissance des situations nécessitant une réévaluation sont les mesures essentielles pour protéger un enfant non vacciné.
Décision vaccinale
La décision de vaccination doit prendre en compte :
- Les risques individuels de chaque maladie
- Le contexte épidémiologique actuel
- L'environnement familial et social
- Les antécédents médicaux
- Les contre-indications éventuelles
Il est recommandé de :
- Discuter avec son médecin
- S'informer via des sources fiables
- Rester vigilant aux symptômes décrits
- Maintenir les mesures de prévention générale
- Consulter rapidement si signes d'alerte
Ce document est informatif et ne remplace pas l'avis médical personnalisé.