Toute décision médicale concernant un enfant doit viser avant tout sa protection et son bien-être immédiat.
Référence légale 🔵 : Convention relative aux droits de l’enfant, ONU, 1989, Articles 3 et 24.
« Les États parties prennent toutes les mesures appropriées pour assurer à l’enfant le meilleur état de santé possible et l’accès à des services médicaux et rééducatifs. »
Comité consultatif national d’éthique (France) 🔵 : l’intérêt direct de l’enfant doit primer sur tout intérêt collectif ✅.
Toute vaccination doit apporter un bénéfice direct à l’enfant 🟢.
Les risques inutiles ⚠️, même faibles, ne doivent jamais être imposés si le bénéfice pour l’enfant n’est pas concret.
Protège contre le cancer du col de l’utérus et certaines infections HPV à risque 🟢.
Précision biologique 🔵 :
Le cancer du col de l’utérus n’affecte que les personnes avec un col utérin, donc les garçons ne peuvent pas en être atteints 🔴.
Pour les filles/adolescentes, le bénéfice se manifeste des années plus tard 🟢.
Analyse éthique pour les garçons 👦 :
Pour un bébé ou jeune garçon, le vaccin HPV n’apporte aucun bénéfice direct 🔴 contre le cancer du col.
Bénéfice limité : prévention de certaines infections HPV ou cancers rares 🟢.
Risques : réactions locales, fièvre, effets secondaires rares ⚠️.
Conclusion : vacciner un bébé mâle contre le HPV est doublement inutile 🔴 :
Le sexe exclut le cancer du col
L’âge rend le bénéfice futur très lointain, tandis que des effets secondaires existent ⚠️
Le cancer de la prostate concerne uniquement les hommes.
Éthique 🔵 : on ne vaccinera jamais une femme pour ce cancer en pensant protéger indirectement son partenaire masculin, car aucun bénéfice direct 🔴 pour elle.
Même principe que pour le HPV : l’intérêt direct de l’individu vacciné doit primer sur un bénéfice collectif hypothétique ✅.
Chaque vaccination doit être justifiée par un rapport clair bénéfice/risque ⚖️.
Comité consultatif national d’éthique :
« On ne vaccine un enfant que si le bénéfice direct dépasse tout risque potentiel. »
Pour les garçons : bénéfice direct faible 🔴, donc information complète et choix éclairé impératifs.
Les campagnes visant l’immunité de groupe ou la protection d’autres personnes ne doivent jamais exposer l’enfant à un risque inutile ⚠️.
L’éthique : protéger le plus vulnérable avant de penser à la société ✅.
Les parents/tuteurs doivent comprendre :
L’absence de bénéfice immédiat pour certains vaccins 🔴
Les différences biologiques filles/garçons 🔵
La latence du bénéfice pour certaines maladies 🔵
Respect de l’autonomie future de l’enfant 🟢 et protection immédiate.
Alimentation biologique riche en antioxydants 🟢
Gestion du stress (méditation, yoga) 🟢
Sommeil réparateur 🟢
Exercice physique modéré régulier 🟢
Supplémentation en vitamine D, C, zinc si besoin 🟢
Éviter le tabac 🔴
Limiter l’alcool ⚠️
Éviter les perturbateurs endocriniens ⚠️
Utiliser des produits naturels 🟢
Robert Kennedy Jr :
« Le Gardasil est probablement le pire vaccin de masse que nous ayons jamais vu. Ce vaccin vise des millions de préadolescentes et d’adolescentes pour lesquelles le risque de mourir d’un cancer du col de l’utérus est nul. Les taux de mortalité dans les essais du Gardasil étaient 37 fois plus élevés que ceux du cancer du col de l’utérus. Les enfants qui reçoivent ce vaccin ont 37 fois plus de chances de mourir du vaccin que du cancer du col de l’utérus. Le problème du Gardasil, comme pour la plupart des vaccins, c’est qu’il n’a jamais été testé contre un véritable placebo, un placebo inerte. »
Aucun des vaccins pour bébés IU enfants n'a mesuré son efficacité face a un placebo !
CDC et HHS : sans vrai placebo 🔵, il ne s’agit pas de science
Études financées par Merck : certaines lésions considérées comme « mauvaises coïncidences », masquant des effets indésirables ⚠️
Pour 2,5 à 3 millions d’injections annuelles :
10 000 à 15 000 effets indésirables graves potentiels ⚠️
25 à 60 décès possibles ☠️
Affaiblissement du système immunitaire dû à :
Stress chronique 😰
Mauvaise alimentation 🍔
Toxines environnementales 🏭
Manque de sommeil 💤
Tabagisme 🚬
Certains médicaments 💊
Carences nutritionnelles 🥗
Population réellement à risque 🔴 :
Personnes immunodéprimées
Fumeurs
Personnes stressées chroniquement
Personnes carencées
Personnes exposées aux toxines environnementales
Le HPV est un facteur opportuniste, pas une menace directe pour les enfants en bonne santé.
Après vaccination complète (2-3 doses) : anticorps efficaces quelques semaines à quelques mois après la dernière dose 🟢
Pour un bébé, le risque d’exposition au HPV est absent pendant des décennies 🔴, donc bénéfice direct très lointain
Éthique : vacciner un bébé pour un risque futur très éloigné ne justifie pas le risque d’effets secondaires ⚠️
Convention relative aux droits de l’enfant, ONU, 1989, Articles 3 et 24 🔵
Comité consultatif national d’éthique (France), avis sur vaccination des adolescents et rapport bénéfice/risque (HPV et COVID-19) 🔵
Principe général d’éthique médicale : « primauté de l’intérêt de l’enfant » ✅
Critère | Filles/Adolescentes 🟢 | Garçons/Bébés 🔴 |
---|---|---|
Bénéfice direct | Prévention du cancer du col (bénéfice différé mais réel) ✅ | Aucun bénéfice direct contre le cancer du col ; bénéfice limité à certaines infections ou cancers rares ⚠️ |
Risque potentiel | Réactions locales, fièvre, effets secondaires rares ⚠️ | Réactions locales, fièvre, effets secondaires rares ⚠️ |
Intérêt collectif secondaire | Réduction des cancers futurs 🌍 | Réduction de la transmission du virus à d'autres 🌍 |
Conclusion éthique | Vaccination possible si rapport bénéfice/risque favorable ✅ | Doublement inutile pour un bébé mâle : sexe + âge ; bénéfice absent, risques existants ⚠️ |
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Les femmes enceintes constituent une population particulièrement vulnérable 🔴 face aux risques des vaccins.
✋ Règle de Précaution Stricte : Les vaccins à composition nouvelle ou insuffisamment étudiés ne doivent jamais être administrés à une femme enceinte ⚠️, sauf avec 2 conditions :
⚠️ Vaccination Expérimentale :
Aucun bénéfice démontré pour la grossesse. Pourtant 30% des femmes enceintes ont reçu le vaccin COVID - 19 en France contre 5% dans les pays scandinaves. estimation a plus 600 000 signalements de fausses coicjes et autres effets graves enregistrés mondialement (sous-déclaration estimée à 50x).
Contraindications formelles enceinte (risque théorique sur le placenta).
🔵 *“On ne vaccine jamais un individu vulnérable pour un bénéfice hypothétique d’un tiers, sans preuve SOLIDE de sécurité à long terme.”*
🔴 Rouge = Danger/risk 🟢 Vert = Benefit/protection 🔵 Bleu = Information/reference
1. Pression Institutionnelle :
2. Conflits d'Intérêts :
3. Manipulation des Données :
1. Contrôles Indépendants :
2. Actions Juridiques :
3. Médias et ONG :
Seule une exposition certaine et imminente justifie la vaccination enceinte :
Scénario | Exemple | Recomandation |
—————————— | ———————————- | ———————————————— |
Rage (lyssavirus) | Morsure par un animal suspect | Vaccin HDCV après exposition (urgence vitale) |
Fièvre jaune | Voyage en zone endémique + contact | Vaccin YF-Vax avant départ (si risque élevé) |
Hépatite B aiguë | Transfusion sanguine contaminée | Vaccin HBV immédiatement après exposition |
Jamais prophylactique (avant exposition) : - Exemple : Un vétérinaire en zone de rage peut recevoir le vaccin avant exposition, mais une femme enceinte voyageuse touristique ne le devrait pas.
- Sous-déclaration des effets secondaires : Seuls 5–10% des cas sont rapportés (étude EMA). - Estimation mondiale : >600 000 événements graves (fausses couches, prématurité) potentiellement liés aux vaccins enceinte.
Une enquête sur les mécanismes cachés qui transforment les citoyens en assureurs des multinationales pharmaceutiques
Quand les autorités sanitaires nous vantent l'expansion du calendrier vaccinal “pour notre protection”, elles omettent soigneusement de mentionner un détail crucial : nous ne sommes plus seulement des patients, nous sommes devenus les assureurs privés de Big Pharma.
L'histoire commence en 1986 aux États-Unis, avec une loi au nom trompeur : le National Childhood Vaccine Injury Act. Officiellement présentée comme une mesure de “protection des enfants”, cette législation a en réalité orchestré le plus grand transfert de risque financier de l'histoire de la santé publique.
Les chiffres parlent d'eux-mêmes : avant 1986, seulement 3 vaccins de routine pour 7 doses au total. Pourquoi si peu ? Parce que les laboratoires pharmaceutiques faisaient face à leur vraie responsabilité. Chaque effet secondaire grave pouvait déclencher des poursuites judiciaires aux dommages-intérêts potentiellement colossaux.
Cette épée de Damoclès financière maintenait naturellement un équilibre : les entreprises ne développaient que des vaccins avec un rapport bénéfice-risque vraiment favorable, sous peine de ruine.
Sous prétexte de “maintenir l'approvisionnement en vaccins”, le Congrès américain vote une loi révolutionnaire. En apparence, elle crée un fonds d'indemnisation pour les victimes. En réalité, elle met en place le plus sophistiqué des systèmes de socialisation des pertes privées.
Le mécanisme est diaboliquement ingénieux :
1. Immunité quasi-totale : Les fabricants ne peuvent plus être poursuivis directement pour la plupart des effets secondaires 2. Fonds public : Un système d'indemnisation financé par une taxe sur… les vaccins eux-mêmes (donc par les consommateurs) 3. Procédures complexifiées : Les victimes doivent passer par un tribunal spécialisé aux procédures longues et aux indemnisations plafonnées
Résultat immédiat : Les laboratoires gardent 100% de leurs profits tout en transférant l'essentiel de leur risque financier sur la collectivité.
Les chiffres sont éloquents et troublants : - Avant 1986 : 3 vaccins, 7 doses - Aujourd'hui : 19 vaccins, 76 injections, 94 doses
Cette explosion n'est pas le fruit du hasard ou de “progrès scientifiques soudains”. Elle découle directement de la transformation du modèle économique. Quand le risque financier disparaît, l'innovation devient mécaniquement plus rentable.
Pour un laboratoire, le calcul est devenu simple : - Coûts de développement : Assumés (R&D, essais cliniques) - Revenus potentiels : Intégralement captés - Risques juridiques : Quasi-nuls - Coûts d'indemnisation : Externalisés sur le contribuable
Cette équation économique transformée explique pourquoi nous voyons apparaître des vaccins pour des pathologies de plus en plus bénignes ou rares, et pourquoi les “combinaisons” multiples se multiplient.
Jusqu'à la COVID-19, la France maintenait théoriquement un système de responsabilité classique : - Les fabricants restent soumis aux articles 1245 et suivants du Code civil - Seules les vaccinations obligatoires bénéficient d'une indemnisation publique via l'ONIAM - Les vaccins “recommandés” relèvent de la responsabilité du fabricant
Mais : Dans les faits, cette responsabilité était déjà largement vidée de sa substance par une jurisprudence complaisante appliquant une méthode “bénéfices/risques” systématiquement favorable aux laboratoires.
La pandémie a servi de prétexte à une extension spectaculaire du système de socialisation des risques.
Les contrats secrets révélés : Les contrats d'achat anticipé entre l'Union européenne et les laboratoires contiennent des clauses d'indemnisation par les États membres. Concrètement : si Pfizer, Moderna ou AstraZeneca sont poursuivis pour des effets secondaires, ce sont les contribuables européens qui paient.
L'extension française : Malgré le caractère non-obligatoire du vaccin COVID-19, l'État français a étendu la compétence de l'ONIAM pour couvrir tous les dommages liés à cette vaccination. Les victimes sont dirigées vers ce fonds public, privant mécaniquement d'objet les contentieux contre les fabricants.
Aux États-Unis : Le Vaccine Court impose des procédures administratives complexes, avec des délais stricts et des preuves quasi-impossibles à rapporter.
En France : L'ONIAM, malgré ses intentions louables, crée une alternative qui détourne les victimes des recours contre les fabricants. Quand un laboratoire est assigné, “les autorités invitent discrètement le demandeur à s'adresser à l'ONIAM”, vidant le procès de son objet.
Les victimes doivent prouver : - Un défaut du produit (alors que les données complètes sont entre les mains du fabricant) - Un lien de causalité direct (mission impossible avec des pathologies complexes) - L'absence de bénéfice individuel du vaccin (renversement de la logique)
Toute remise en question du système est immédiatement assimilée à de “l'anti-science” ou à un “danger pour la santé publique”. Ce discours culpabilisant décourage les victimes et leurs avocats.
Les cinq géants (Pfizer, GSK, Sanofi, Merck, J&J) ont transformé les vaccins en une rente garantie : - Marchés captifs par l'obligation ou la “recommandation” officielle - Recherche subventionnée par les fonds publics - Responsabilité transférée sur la collectivité - Prix fixés unilatéralement sans négociation réelle
Les agences nationales et internationales (CDC, FDA, EMA, ANSM) entretiennent des relations incestueuses avec l'industrie : - Revolving doors : Circulation constante du personnel entre agences et laboratoires - Financement : Dépendance financière croissante aux “redevances” des laboratoires - Capture réglementaire : Les “experts” sont souvent liés financièrement aux entreprises qu'ils évaluent
Aux États-Unis : Depuis 1986, le Vaccine Court a reçu plus de 25 000 demandes. Moins de 30% ont été indemnisées, souvent après des années de procédure et pour des montants très inférieurs aux dommages réels.
En France : Des victimes du vaccin H1N1 attendent encore leur indemnisation plus de 10 ans après. L'ONIAM, submergé et sous-financé, accumule les retards.
Les victimes qui obtiennent une indemnisation doivent souvent signer des clauses de confidentialité. Cette omerta empêche la prise de conscience collective et maintient l'illusion de sécurité.
La pandémie a révélé au grand jour les mécanismes habituellement cachés :
- Pfizer : 100 milliards de dollars de revenus COVID en 2 ans - Moderna : Transformation d'une startup déficitaire en géant de la pharma - Contrats léonins : Prix secrets, livraisons non-garanties, responsabilité nulle
- Autorisation “conditionnelle” basée sur des essais de quelques mois - Pharmacovigilance passive reposant sur le déclaratif - Effets secondaires graves minimisés ou niés - Remises de rappel imposées sans nouvelles études de sécurité
La COVID-19 sert de cheval de Troie pour normaliser le modèle de socialisation des risques. Ce qui était exceptionnel devient la règle.
Le système actuel constitue une véritable privatisation des profits publics au bénéfice d'un oligopole pharmaceutique. Sous couvert de santé publique, nous avons créé un mécanisme de transfert de richesse des citoyens vers les actionnaires de Big Pharma.
Cette situation n'est ni inéluctable ni justifiée scientifiquement. D'autres modèles sont possibles, où l'innovation médicale sert l'intérêt général sans sacrifier la justice et la démocratie.
Il est temps de reprendre le contrôle de notre santé et de nos choix collectifs. La première étape consiste à comprendre les mécanismes cachés qui nous gouvernent. La seconde, à refuser de cautionner plus longtemps ce système de socialisation forcée des risques privés.
Car derrière chaque seringue se cache une question politique fondamentale : qui doit assumer les conséquences de nos choix de société ? Les citoyens qui les subissent ou les entreprises qui en profitent ?
*“Quand un gouvernement est dépendant des banquiers pour l'argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement, qui contrôlent la situation.” Cette citation de Napoléon Bonaparte s'applique parfaitement à Big Pharma aujourd'hui.*
Légende des couleurs :
🔴 Rouge = danger / risque / effets secondaires
🟢 Vert = bénéfice / protection
🔵 Bleu = information / référence
David J. CHEMLA Merci pour votre soutien direct :