Chaque année en France, des centaines de milliers de nourrissons reçoivent leurs vaccinations obligatoires. Ce que beaucoup de parents ignorent, c'est que ces vaccins contiennent de l'aluminium en quantités qui dépassent largement les seuils de sécurité internationaux. Cette situation soulève des questions importantes sur l'évaluation du rapport bénéfice-risque de nos politiques vaccinales.
Depuis janvier 2025, le calendrier vaccinal français impose aux nourrissons :
Au total, un nourrisson français reçoit “au maximum 3,835 mg d'aluminium pour l'ensemble des injections préconisées par le calendrier vaccinal entre 0 et 24 mois” Sénat, soit l'équivalent de près de 4 grammes de métal injecté directement dans l'organisme d'un tout-petit.
Nombre total d'injections contenant de l'aluminium : 11
TOTAL : 3,835 mg d'aluminium métal injecté
Pour comprendre cette quantité :
La FDA américaine et l'OMS recommandent de ne pas exposer les populations à plus de 5 μg d'aluminium par kg de poids corporel par jour Haut Conseil de la santé publique. Pour un nourrisson de 4 kg, cela représente une dose maximale de 20 μg par jour.
Une seule injection d'Infanrix Hexa contient 3140 μg d'aluminium, soit 157 fois la dose journalière recommandée pour un bébé de 4 kg Haut Conseil de la santé publique.
Concrètement :
“Dès l'âge de 8 semaines, la 1ère dose de l'un des 3 vaccins hexavalents apporte à l'organisme du nourrisson des quantités 4 à 5 fois supérieures à la dose minimale toxique édictée par la FDA et l'OMS” European Commission.
Si l'on considère la dose totale de 3,835 mg répartie sur 24 mois :
Paradoxalement, cette moyenne reste dans les seuils, mais elle masque des pics d'exposition extrêmes lors de chaque injection, particulièrement dangereux pour un organisme en développement.
L'aluminium est reconnu comme neurotoxique. “La neurotoxicité de l'aluminium n'existe que pour des intoxications massives aigües ou des consommations chroniques à des dosages élevés” Sénat selon les autorités, mais cette évaluation concerne l'exposition par voie orale, non par injection.
Voie orale (alimentation) :
Voie intramusculaire (vaccins) :
Des études “ont cherché un lien entre la lésion au site d'injection contenant de l'aluminium dénommée « myofasciite à macrophage » et l'existence de symptômes (fatigue, douleurs musculaires ou articulaires, troubles cognitifs)” Professeur Joyeux.
L'aluminium injecté peut traverser la barrière hémato-encéphalique et s'accumuler dans le cerveau, organe particulièrement vulnérable chez les nourrissons dont le système nerveux est en développement.
Chez les nourrissons, l'exposition à l'aluminium pendant les phases critiques du développement neurologique pourrait avoir des conséquences à long terme sur :
L'aluminium peut déclencher des réactions auto-immunes, le système immunitaire s'attaquant aux propres tissus de l'organisme.
“Le laboratoire Mérial (Mérieux) […] a retiré en 2012 l'adjuvant aluminique dans leurs vaccins [vétérinaires]. Un véritable aveu sur ma nocivité réelle” AFPA après avoir établi le lien entre aluminium vaccinal et sarcomes chez les chats.
Paradoxe : L'aluminium jugé trop dangereux pour les animaux reste utilisé chez les bébés humains.
Les autorités françaises maintiennent que “ces doses sont donc très inférieures à la limite maximale recommandée” Sénat, alors que les calculs montrent un dépassement de 157 fois les seuils de sécurité.
Les bébés nés prématurément ont :
Certains bébés ont une capacité réduite d'élimination des métaux lourds, augmentant le risque d'accumulation toxique.
“Le retour au classique DTP sans aluminium s'impose comme cela est demandé par 1,144 300 personnes [pétition]. Il doit être imposé par l'État aux fabricants de vaccins” European Commission.
Des vaccins sans adjuvant aluminique existent mais ne sont plus commercialisés en France, créant une obligation de fait d'exposer tous les nourrissons à ces doses dépassant les seuils toxicologiques.
1. **S'informer** sur le contenu exact des vaccins 2. **Discuter** avec le pédiatre des alternatives possibles 3. **Espacer** les vaccinations si possible pour réduire les pics d'exposition 4. **Surveiller** les réactions post-vaccinales
1. **Réévaluer** les seuils de sécurité pour la voie intramusculaire 2. **Financer** des études sur la toxicité à long terme de l'aluminium injecté 3. **Restaurer** l'accès aux vaccins sans adjuvant aluminique 4. **Appliquer** le principe de précaution
Pour contextualiser la situation française, examinons les calendriers vaccinaux et l'exposition cumulée à l'aluminium dans d'autres pays européens en 2025. Les vaccins utilisés sont souvent similaires (comme Infanrix Hexa, Prevenar 13, Bexsero), avec des contenus en aluminium typiques : environ 0,82 mg par dose pour les vaccins hexavalents, 0,125 mg pour Prevenar 13, et 0,5 mg pour Bexsero ou les vaccins méningococciques (quantités exprimées en mg d'aluminium selon les notices officielles). Notez que ces chiffres diffèrent des estimations d'“aluminium métal” utilisées plus haut, qui sous-estiment les quantités réelles. L'exposition totale sur les 24 premiers mois varie en fonction du nombre de doses et des vaccins inclus, mais reste généralement autour de 3 à 5 mg d'aluminium cumulés, similaire à la France une fois ajusté. Cependant, la France impose plus de doses obligatoires, entraînant une exposition potentiellement plus élevée.
Le calendrier vaccinal allemand, recommandé par le STIKO (Standing Committee on Vaccination), est similaire à celui de la France mais avec des nuances. Les nourrissons reçoivent :
Exposition cumulée estimée : Environ 4,5 à 5,5 mg d'aluminium sur 24 mois (4 × 0,82 mg + 3 × 0,125 mg + 3 × 0,5 mg ≈ 5,155 mg, sans compter d'éventuels rappels). Cela est comparable à la France, mais avec une distribution sur plus de doses précoces, potentiellement augmentant les pics d'exposition. Les autorités allemandes, comme le Robert Koch Institute, maintiennent que ces niveaux sont sans risque, appuyés par des études européennes.
Au Royaume-Uni, le calendrier du NHS est plus condensé et moins étendu pour les méningocoques. Les injections pour les nourrissons incluent :
Exposition cumulée estimée : Environ 4,3 mg d'aluminium sur 24 mois (3 × 0,82 mg + 3 × 0,125 mg + 3 × 0,5 mg = 4,335 mg). C'est inférieur à la France en raison de l'absence de doses supplémentaires pour ACWY. Des sources officielles indiquent que les bébés reçoivent environ 4,4 mg au total dans les premiers mois, sans lien avec des risques accrus selon des études récentes. Le NHS met l'accent sur la sécurité, avec des changements en 2025 pour optimiser les doses sans augmenter l'aluminium.
Les pays scandinaves adoptent des approches plus minimalistes, avec des calendriers nationaux gérés par des agences comme Folkhälsomyndigheten en Suède ou Statens Serum Institut au Danemark. Par exemple, en Suède :
Exposition cumulée estimée : Environ 2,8 à 3,5 mg d'aluminium sur 24 mois (3 × 0,82 mg + 3 × 0,125 mg ≈ 2,835 mg, avec des variations mineures). C'est notablement plus bas que en France, dû à moins de vaccins méningococciques. Des études danoises récentes (sur plus d'un million d'enfants) confirment l'absence de liens entre cette exposition et des troubles comme l'asthme ou l'autisme, soulignant une approche prudente mais efficace. Les divergences nordiques montrent que des calendriers plus légers n'augmentent pas les taux de maladies, questionnant l'approche française plus intensive.
En résumé, la France expose les nourrissons à une charge d'aluminium plus élevée (environ 5,3 mg ajusté) en raison de son calendrier obligatoire étendu, comparé au Royaume-Uni (4,3 mg) ou aux pays scandinaves (2,8-3,5 mg). L'Allemagne est proche de la France. Bien que les autorités européennes considèrent ces niveaux sans danger, les différences soulignent des choix politiques variés en matière de mandatory et de couverture vaccinale.
Les faits sont établis : les doses d'aluminium dans les vaccins obligatoires dépassent massivement les seuils de sécurité internationaux Haut Conseil de la santé publique. Sur les 24 premiers mois de vie, un bébé français reçoit 11 injections contenant au total 3,835 mg d'aluminium, avec des pics de 157 fois les doses journalières recommandées.
Cette situation, acceptée sans études spécifiques sur la toxicité de l'aluminium injecté, pose des questions légitimes sur l'évaluation du rapport bénéfice-risque.
Il ne s'agit pas de remettre en cause le principe vaccinal, mais d'exiger :
Car la santé de nos enfants mérite mieux que 11 injections dépassant massivement les doses de sécurité, justifiées par des arguments qui ne tiennent pas compte des spécificités de l'injection intramusculaire.
Les parents ont le droit de connaître ces informations pour prendre des décisions éclairées concernant la santé de leurs enfants.