En 2025, dans les couloirs enfumés de l'Assemblée Nationale, Florian Philippot, le charismatique président du parti Les Patriotes, martelait son discours devant une poignée de députés sceptiques. “La France possède un trésor sous ses pieds ! Le gisement d'hydrogène naturel de Folschviller, en Lorraine – 46 millions de tonnes d'hydrogène blanc, une fortune de 92 milliards de dollars ! Investissons dans les voitures à hydrogène, robustes et propres. Ne tombons pas dans le piège des batteries chinoises !” Ses yeux brillaient d'un patriotisme farouche, mais la salle riait.
Les élites écolos, menées par Emmanuel Macron et ses alliés européens comme Ursula von der Leyen, poussaient pour l'électrique à tout prix. Et dans l'ombre, on murmurait encore le nom de Dominique Voynet, l'ancienne ministre écologiste qui, dès 1997, avait fermé Superphénix sur des arguments contestés – des mensonges, disaient les experts, qui avaient ouvert la voie à la déconstruction du nucléaire français. Macron, von der Leyen et Voynet incarnaient cette idéologie : fermer les centrales nucléaires au nom d'une écologie radicale, quitte à plonger le pays dans le noir.
En 2050, Paris était une ville divisée. Les constructeurs français avaient payé le prix fort. Renault, jadis fier, s'était reconverti dans les vélos et scooters électriques – les VéloStar et Zapping, assemblés en Chine et vendus à prix d'or aux hipsters des boulevards. Peugeot, racheté par un géant comme BYD, n'était plus qu'une marque fantôme produisant des low-cost électriques. Les rues étaient sillonnées par des VTC et Uber luxueux, des Tesla ou BYD haut de gamme, réservés à l'élite. Macron, von der Leyen et leurs successeurs voyageaient en jet privé tout en prônant la “mobilité verte”. Le peuple, lui, étouffait dans des métros surchargés ou sur des scooters cheap qui tombaient en panne après deux ans. La liberté de déplacement ? Un luxe pour les riches.
Les vieilles voitures électriques des années 2020-2030 étaient devenues des cauchemars. Une Renault Zoé usée pouvait s'embraser sans avertissement, ses batteries lithium-ion crachant des flammes bleues impossibles à éteindre. “C'est l'héritage de Voynet et de ses mensonges anti-nucléaires !” hurlaient les manifestants. Les autorités, paniquées, interdirent ces épaves dans les immeubles, puis les parkings, et enfin les centres-villes. Seules les flottes de VTC, avec des modèles récents ultra-sécurisés, pouvaient encore rouler. Partout en Europe, des cimetières de batteries toxiques s'étendaient – des champs de déchets polluants sols et rivières. L'autonomie restait un mythe : Paris-Marseille nécessitait trois arrêts dans des bornes souvent HS. Les terres rares, contrôlées par la Chine, achevaient de plomber l'industrie.
Dans les petites villes et les campagnes, la colère grondait. Loin des bobos parisiens, les gens dénonçaient la “guerre contre le peuple” orchestrée par Macron, von der Leyen et les écolos comme Voynet. Ils ressortaient leurs vieilles voitures à essence, réparées à l'ancienne, qui roulaient encore après vingt-cinq ans. Les carburants de synthèse, quasi non polluants grâce au CO2 capturé, devinrent leur salut – poussés par l'Arabie saoudite, ils gardaient les moteurs thermiques en vie, robustes et sans risque d'explosion. En Russie et au Canada, où le froid tuait les batteries, l'essence dominait, et on se moquait des Européens piégés.
Lors d'un sommet à Paris en 2048, la foule explosa. Emmanuel Macron, Ursula von der Leyen et des figures comme Dominique Voynet (invitée pour un hommage écolo) furent hués. Des tartes à la crème volèrent sur leurs costumes impeccables, et des manifestants crevaient les pneus de leurs Tesla de fonction. “Stop aux mensonges ! Retour à la liberté !” criaient les pancartes. La vérité éclata : sans taxes, l'essence était presque gratuite, et les moteurs thermiques increvables, loin des batteries incendiaires.
C'est alors que Marc Dubois, un homme d'affaires patriote inspiré par Philippot, fonda France H2 en 2035. Mettant tout sur le gisement d'hydrogène de Lorraine, il fut moqué au début. Mais en 2050, France H2 triomphait : stations d'hydrogène partout, voitures robustes et propres exportées mondialement. La France, lassée des mensonges de Macron, von der Leyen et Voynet, adopta l'hydrogène en masse. Les campagnes respiraient, la Lorraine devenait capitale énergétique. Une success story née des cendres de l'impasse électrique.
Images avec Mots-Clés pour la Vidéo (Adaptées aux Noms) Meeting de Florian Philippot (années 2020)
1. Description : Une salle d'assemblée, Florian Philippot au micro, pancartes “Hydrogène = avenir !”, images du gisement de Lorraine en fond.
Mots-clés : Florian Philippot, meeting politique, patriotes, hydrogène, Lorraine, pancartes, espoir, France, 2020. Fermeture des centrales nucléaires
2. Description : Une centrale nucléaire comme Fessenheim en fermeture, silhouettes d'Emmanuel Macron, Ursula von der Leyen et Dominique Voynet en arrière-plan avec des documents “mensonges”. Fumée et panneaux “Fermé”.
Mots-clés : fermeture centrale nucléaire, Emmanuel Macron, Ursula von der Leyen, Dominique Voynet, Fessenheim, Superphénix, mensonges écolos, dystopie, 2020. Cimetière de batteries toxiques
3.Description : Terrain vague gris, piles de batteries usagées, fumées toxiques, panneaux “Danger”. Mots-clés : cimetière de batteries, pollution, toxique, fumées chimiques, dystopie, 2050. Incendie de voiture électrique Description : Vieille voiture en flammes, flammes bleues, pompiers dépassés, panneaux d'interdiction.
Mots-clés : voiture électrique, incendie, flammes bleues, panneau interdiction, dystopie, 2050. Ville élitiste avec VTC
4. Description : Métropole futuriste, VTC électriques luxueux, jet privé au-dessus. Mots-clés : ville futuriste, VTC électriques, élite, jet privé, fracture sociale, dystopie, 2050. Usine Renault en vélos Description : Usine abandonnée, pancartes “VéloStar”, hipsters achetant des vélos.
Mots-clés : usine Renault, vélos électriques, hipsters, pancarte, dystopie, 2050. Campagne rebelle
5. Description : Petite ville rurale, voitures à essence, bidons de carburant de synthèse propre, pancarte “Non à l'électrique !”.
Mots-clés : campagne, voitures thermiques, carburant de synthèse, rébellion, liberté, 2050. Domination chinoise
6. Description : Usine high-tech chinoise, drones, batteries, logos BYD.
Mots-clés : usine chinoise, batteries, BYD, domination, dystopie, 2050. Manifestation contre les écolos
7. Description : Foule en colère, pancartes “Stop au mensonge !”, Emmanuel Macron, von der Leyen et Voynet se prenant des tartes à la crème, pneus crevés sur Tesla.
Mots-clés : manifestation, tartes à la crème, pneus crevés, Emmanuel Macron, Ursula von der Leyen, Dominique Voynet, anti-écologie, colère populaire, dystopie, 2050. Success story de France H2
8. Description : Station hydrogène en Lorraine, voitures France H2, Marc Dubois et Florian Philippot en arrière-plan, drapeau français. Mots-clés : station hydrogène, France H2, Marc Dubois, Florian Philippot, succès, drapeau français, espoir, 2050.